Lorsqu’on a peu de temps pour se préparer au TOEIC, il faut se concentrer sur ses points faibles. Si l’épreuve de compréhension orale du TOEIC vous semble difficile, voici quelques conseils pour bien réussir son TOEIC.
Lorsque l’on s’entraine au TOEIC et que l’on ne comprend pas les bandes sonores, il faut essayer de repérer pourquoi on a un problème de compréhension. Est-ce à cause de la grammaire, du vocabulaire, de la prononciation ou des contractions utilisés ? Peut-être qu’on a utilisé une nouvelle combinaison de mots ou simplement qu’on a parlé plus vite que d’habitude.
Il faut trouver ses points faibles et travailler dessus.
Identifier les mots-clés dans l’épreuve
Si on manque de vocabulaire, enrichir son vocabulaire grâce à des jeux ou des listes de vocabulaire ciblées vous permettront d’éviter les cas où on ne comprend pas un dialogue à cause des mots qui sont utilisés. Par ailleurs, lorsque l’on tombe sur des mots inconnus (c’est quasiment inévitable), il ne faut pas être surpris ou décontenancé. On peut souvent deviner le sens des mots à travers le reste de la phrase.
Ne pas tomber dans le piège
Le TOEIC est un examen sous forme de QCM. Il faut donc prendre l’habitude dans un premier temps de procéder par élimination afin d’exclure les options qui sont manifestement fausses, puis choisir entre les deux options qui restent. Pour beaucoup de questions, deux réponses sont manifestement fausses et deux sont plus probables. Il faut naturellement éliminer les deux premiers et les chances d’avoir la bonne réponse sont de 50/50. Pour réussir le TOEIC, il faut faire attention aux nuances de la phrase. Parfois, on tend des pièges aux candidats qui éliminent d’emblée les réponse justes car ils n’ont pas fait attention à une double négation par exemple.
Bien sûr, la seule façon de réussir le TOEIC est de s’exercer régulièrement. Il faut établir un planning pour s’entraîner au TOEIC régulièrement, et sur l’épreuve de compréhension orale en particulier si c’est votre point faible.
